La guignolée démarre

Pour une sixième fois cette année, l’équipe de l’organisme Aux sources du Bassin de Chambly déploie ses efforts afin d’aider les citoyens dans le besoin.  

Denrées et argent sont ce dont a besoin l’organisme. Du 24 au 27 novembre inclusivement, ses équipiers seront postés dans diverses épiceries afin de solliciter la population à se montrer généreuse. Les lieux sont les suivants : Maxi Chambly, Métro Colin, IGA à Carignan, IGA à Chambly ainsi qu’à la Ferme Guyon. Une trentaine d’employés et de bénévoles seront répartis pour l’occasion.

La confection de paniers de Noël fait partie des objectifs. Toutefois, les denrées alimentaires non périssables et les dons en argent ne serviront pas qu’à la période des Fêtes. Ils auront pour fonction d’aider les Chamblyens et les Carignanois, toute l’année, dans le cadre de paniers hebdomadaires. 

Cette tradition québécoise qui revient d’année en année permet d’aider la collectivité. Pour l’organisation, ses employés et ses bénévoles, la guignolée est synonyme de fête, de partage et d’entraide. Pour l’édition 2022, l’organisme a décidé de mettre de l’avant des artistes, des personnalités de la région ainsi que des personnes impliquées dans l’organisation de l’événement. Des vidéos ont été publiées pendant tout le mois de novembre afin d’encourager la population à donner généreusement. Le slogan On donne, et vous? et le #GuignoléeChamblyCarignan2022 sont bien présents sur le site Web www.as-bc.org ainsi que sur les réseaux sociaux de l’organisation. 

» La guignolée, c’est encore nécessaire et c’est une belle cause. » – Nathalie Boucher

« La guignolée Chambly et Carignan, c’est important. Artistes, personnalités publiques, bénévoles, employés, tous s’impliquent et donnent généreusement pour amasser des dons monétaires et alimentaires. Nous sommes fiers de rassembler les générations autour d’une cause commune et d’appuyer des familles de la région qui en ont besoin », témoigne Céline Bérubé, présidente d’Aux sources du Bassin de Chambly. « La guignolée, c’est encore nécessaire et c’est une belle cause », complète Nathalie Boucher, directrice générale d’Aux sources du Bassin.