Deux conseillers visent la réélection
Deux actuels conseillers municipaux, Jo-Anne Quérel et Claude Gauthier, tenteront de se faire réélire sous la bannière de la Coalition richeloise aux prochaines élections municipales.
Mme Quérel avait été élue pour la première fois avec la première cohorte de l’équipe du maire actuel, Jacques Ladouceur, en 2005 et est demeurée conseillère du deuxième district jusqu’en 2013. Elle n’avait pas tenté sa chance au dernier scrutin, mais à la suite du décès de la conseillère Annie Baker, elle s’est présentée dans une élection partielle qu’elle a remportée.
« Je me suis toujours intéressée à la politique, a expliqué l’actuelle conseillère qui est résidente de Richelieu depuis 34 ans. J’allais aux réunions le lundi soir. J’ai vu les différents maires et les différentes façons de fonctionner et c’est pour ça que j’aime beaucoup travailler avec Jacques. »
M. Gauthier sollicite pour sa part un deuxième mandat, lui qui est conseiller dans le district 3.
« On est vraiment impliqués dans bien des choses. Je suis impliqué avec le Centre d’interprétation des énergies renouvelables, avec l’école, le Club optimiste. Tu as des feedbacks, on est proche des citoyens. C’est comme ça qu’on est capables de faire bouger les choses. »
M. Ladouceur a salué le retour des deux conseillers, qui joueront les rôles de vétérans auprès de son équipe.
« C’est l’expérience qui est de retour, a souligné Jacques Ladouceur. Ça va aider nos jeunes recrues qu’on va avoir dans notre équipe dynamique. »
Jeunes familles
Le visage de Richelieu a changé dans les dernières années avec l’arrivée de plusieurs jeunes familles.
« Par exemple, le parc de la Gare va être adapté pour les plus jeunes puisqu’il y en a beaucoup dans le secteur, a noté Mme Quérel. Si on pense aux jeux d’eau, ils ont été fait pour que les garderies puissent y aller simplement. »
Claude Gauthier a quant à lui souligné l’aspect régional de la question et de l’échange des services entre les différentes municipalités voisines.
« Autant le hockey que le soccer intérieur, il faut voir le tout avec un aspect régional, a-t-il déclaré. On a une problématique dans la région qu’on a juste un aréna. On entend que des parents partent pour aller dans d’autres régions. Il va falloir s’impliquer davantage au niveau régional. »