Comment avez-vous vécu ce 28 mai, synonyme d’assouplissement?
Gilles Corriveau : « C’était la fête de ma femme la semaine dernière. J’ai réservé sur une terrasse justement pour cette journée pour un souper d’amoureux. On va le vivre pleinement. Mais j’ai l’impression que ça va être difficile d’avoir une place pour t’asseoir sur les terrasses. On a réservé deux semaines d’avance. »
Patrick Goulet : « La brasserie Saint-Ambroise a ouvert à midi et on n’avait pas besoin de réserver. J’ai officiellement pris ma bière sur une terrasse pour célébrer enfin le déconfinement. Ça fait longtemps que j’étais prêt, je me suis pratiqué tout l’hiver. »
Mélanie Carrier : « Enfin, on retrouve la liberté, les activités sociales, on peut respirer un peu plus. Ça va faire du bien au moral, c’est attendu depuis très longtemps. »
Raymond Huneault : « On vit ça avec joie. Les terrasses, ça va être le fun, on va pouvoir aller manger, prendre une bière. Je n’ai pas encore réservé mais je planifie le faire éventuellement. »
Sylvie Gosselin : « On l’accueille avec grande joie, en se croisant les doigts que ça continue à bien aller et que tout le monde fasse ce qu’il faut faire pour que ça se poursuive. On pense voir des amis tout en restant dehors, il ne faut pas l’oublier. On a hâte d’avoir notre deuxième dose pour voir notre petite-fille. C’est notre focus. »
Alain Audet : « Je vais résister à certaines tentations de me retrouver dans des milieux trop populeux. Àtravers ça, c’est le résultat du travail des gens. J’ai hâte de voir les terrasses, les restaurants, des gens qui ont souffert beaucoup pendant cette période-là, économiquement. On s’en va vers une normalité. »